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Europe Energie
10 juin 2005
L'ARMÉNIE VA CONSTRUIRE UN NOUVEAU DÉPÔT POUR LES DÉCHETS NUCLÉAIRES
Le parlement arménien a donné le 25 mai son feu vert pour la
construction d'un nouveau site de stockage des déchets nucléaires de
la centrale de Metzamor, exploitable pendant 50 ans. Le nouveau site
sera construit en trois tranches qui seront mises en exploitation en
2007, 2012 et 2018.
Le coût total de la construction est de 10 millions d'euros. Avant
1989, le combustible usagé arménien était stocké en Russie. Et le
premier site de stockage construit en 2000 par la compagnie française
Framatome est plein. L'Union européenne demande à Erevan de fermer
son unique centrale nucléaire, ce que le gouvernement arménien
refuse, arguant de l'absence de sources d'énergie alternatives. La
centrale de Metzamor construite en 1977 produit 40% de l'énergie de
la république. Elle avait été fermée en 1988 après le tremblement de
terre de Spitak qui avait dévasté l'Arménie, et n'avait été relancée
qu'en 1995 à cause d'une crise énergétique. La centrale munie de deux
réacteurs à eau pressurisée de type VVER-440 est gérée depuis 2003
pour 5 ans par le monopole d'électricité russe SEU.
10 juin 2005
L'ARMÉNIE VA CONSTRUIRE UN NOUVEAU DÉPÔT POUR LES DÉCHETS NUCLÉAIRES
Le parlement arménien a donné le 25 mai son feu vert pour la
construction d'un nouveau site de stockage des déchets nucléaires de
la centrale de Metzamor, exploitable pendant 50 ans. Le nouveau site
sera construit en trois tranches qui seront mises en exploitation en
2007, 2012 et 2018.
Le coût total de la construction est de 10 millions d'euros. Avant
1989, le combustible usagé arménien était stocké en Russie. Et le
premier site de stockage construit en 2000 par la compagnie française
Framatome est plein. L'Union européenne demande à Erevan de fermer
son unique centrale nucléaire, ce que le gouvernement arménien
refuse, arguant de l'absence de sources d'énergie alternatives. La
centrale de Metzamor construite en 1977 produit 40% de l'énergie de
la république. Elle avait été fermée en 1988 après le tremblement de
terre de Spitak qui avait dévasté l'Arménie, et n'avait été relancée
qu'en 1995 à cause d'une crise énergétique. La centrale munie de deux
réacteurs à eau pressurisée de type VVER-440 est gérée depuis 2003
pour 5 ans par le monopole d'électricité russe SEU.