Foi et Traditions des Chrétiens Orientaux
Aznavour inconnu (1969)
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=84470
Une fois de plus, nous revisitons les grandes heures de l'émission
dominicale Foi et traditions des Chrétiens orientaux de Gérard
Stéphanesco, présentée par Jean-Pierre Enkiri, avec ce générique
musical, The Seasons : Automn d'Albert Wolf, si cher au coeur des
arméniens de la première et seconde générations.
Dans ce numéro du 20 avril 1969 consacré au Charles Aznavour inconnu,
l'artiste, en pleine gloire (Emmenez-moi, Le Cabotin, Désormais...)
nous fait part de l'intimité religieuse familiale. Son père Misha
évoque un adolescent qui aimait parler avec des personnes plus gées
que lui.
Avec les témoignages de sa fille Séda et de son inséparable soeur
Aïda, Charles avoue qu'à 40 ans (1964) il ne s'est pas reconnu dans
son voyage en Arménie.
On y voit aussi avec émotion son fils Patrick, décédé à l'ge 25 ans
(1981) et son cher beau-frère Georges Garvarentz, compositeur de tant
et tant de succès, qui évoque sa rencontre avec celui pour lequel il
composera en 1960 Rendez-vous à Brasilia.
« L'Arménie ce sont les rires et les larmes de nos parents », dit-il.
J.E
dimanche 18 novembre 2012,
Jean Eckian ©armenews.com
From: A. Papazian
Aznavour inconnu (1969)
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=84470
Une fois de plus, nous revisitons les grandes heures de l'émission
dominicale Foi et traditions des Chrétiens orientaux de Gérard
Stéphanesco, présentée par Jean-Pierre Enkiri, avec ce générique
musical, The Seasons : Automn d'Albert Wolf, si cher au coeur des
arméniens de la première et seconde générations.
Dans ce numéro du 20 avril 1969 consacré au Charles Aznavour inconnu,
l'artiste, en pleine gloire (Emmenez-moi, Le Cabotin, Désormais...)
nous fait part de l'intimité religieuse familiale. Son père Misha
évoque un adolescent qui aimait parler avec des personnes plus gées
que lui.
Avec les témoignages de sa fille Séda et de son inséparable soeur
Aïda, Charles avoue qu'à 40 ans (1964) il ne s'est pas reconnu dans
son voyage en Arménie.
On y voit aussi avec émotion son fils Patrick, décédé à l'ge 25 ans
(1981) et son cher beau-frère Georges Garvarentz, compositeur de tant
et tant de succès, qui évoque sa rencontre avec celui pour lequel il
composera en 1960 Rendez-vous à Brasilia.
« L'Arménie ce sont les rires et les larmes de nos parents », dit-il.
J.E
dimanche 18 novembre 2012,
Jean Eckian ©armenews.com
From: A. Papazian