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Washington N'est Toujours Pas Favorable A Une Zone D'exclusion Aerie

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    WASHINGTON N'EST TOUJOURS PAS FAVORABLE A UNE ZONE D'EXCLUSION AERIENNE

    SYRIE

    La Maison Blanche n'est toujours pas favorable a une zone d'exclusion
    aerienne entre la Syrie et la Turquie, defendue avec force par Ankara,
    a indique lundi le porte-parole de l'executif americain.

    Cette proposition n'est pas une bonne solution "a ce stade",
    a declare Josh Earnest, porte-parole de l'executif americain,
    en reponse a des articles dans la presse americaine evoquant une
    evolution de la position americaine sur ce point, a l'issue d'un
    voyage du vice-president Joe Biden en Turquie.

    La Turquie a pose comme condition a son entree dans la coalition
    contre l'EI la creation d'une zone-tampon et d'une zone d'interdiction
    aerienne le long de sa frontière avec la Syrie.

    La Turquie soutient depuis longtemps cette idee de zone tampon pour y
    accueillir notamment les refugies pousses a fuir par les combats entre
    regime syrien de Bachar al-Assad, les rebelles et les jihadistes de
    l'Etat islamique.

    Ankara considère insuffisants les raids aeriens de la coalition et
    juge que la menace jihadiste ne sera ecartee qu'avec la chute du
    president Bachar al-Assad, sa bete noire.

    Mais Ankara n'a pas reussi a ce jour a convaincre ses allies de
    l'Otan. Contrairement aux Turcs, les Americains restent focalises sur
    la lutte antijihadiste. "Nous sommes d'accord avec les Turcs, il faudra
    une transition politique sans Assad au bout du compte", a insiste a
    Istanbul le vice-president americain Joe Biden, "mais pour le moment,
    notre priorite absolue en Irak et en Syrie reste la defaite de l'EI".

    Contrairement aux Etats-Unis, la Turquie refuse de fournir une aide
    militaire aux forces kurdes qui defendent la ville syrienne de Kobane
    assiegee par les jihadistes. Sous pression de ses allies, elle s'est
    contentee d'autoriser le passage vers Kobane, via son territoire,
    de combattants peshmergas kurdes venus d'Irak.

    Washington, 1 dec 2014 (AFP) -

    mardi 2 decembre 2014, Ara (c)armenews.com
    http://www.armenews.com/article.php3?id_article=105826

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