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Le Figaro, France
03 février 2007
Aznavour à Garnier pour l'Arménie
Le 30 septembre dernier, Charles Aznavour a ouvert l'année de
l'Arménie en se produisant à Erevan, place de la République. Le 17
février, il va chanter à Paris, au Palais Garnier, entouré de
plusieurs générations d'artistes, à ses côtés, le temps d'un duo.
L'accompagnement musical sera assuré par l'Orchestre symphonique
d'Erevan, et Robert Kotcharian, président de la République d'Arménie,
se trouvera dans la salle. Les bénéfices de cette soirée
exceptionnelle, tant par le lieu que par le générique, permettront de
faire venir en France mille adolescents, « les jeunes ambassadeurs
pour l'Arménie » , qui désirent apprendre notre langue. Levon Sayan,
manager d'Aznavour, a produit ce spectacle dont les répétitions
seront très limitées. Charles est en effet actuellement au Japon pour
une « tournée d'adieux » de sept concerts. Ce qui ne l'empêche pas de
songer à son retour à Paris, à la rentrée, le temps de vingt nouveaux
concerts au Palais des congrès.
03 février 2007
Aznavour à Garnier pour l'Arménie
Le 30 septembre dernier, Charles Aznavour a ouvert l'année de
l'Arménie en se produisant à Erevan, place de la République. Le 17
février, il va chanter à Paris, au Palais Garnier, entouré de
plusieurs générations d'artistes, à ses côtés, le temps d'un duo.
L'accompagnement musical sera assuré par l'Orchestre symphonique
d'Erevan, et Robert Kotcharian, président de la République d'Arménie,
se trouvera dans la salle. Les bénéfices de cette soirée
exceptionnelle, tant par le lieu que par le générique, permettront de
faire venir en France mille adolescents, « les jeunes ambassadeurs
pour l'Arménie » , qui désirent apprendre notre langue. Levon Sayan,
manager d'Aznavour, a produit ce spectacle dont les répétitions
seront très limitées. Charles est en effet actuellement au Japon pour
une « tournée d'adieux » de sept concerts. Ce qui ne l'empêche pas de
songer à son retour à Paris, à la rentrée, le temps de vingt nouveaux
concerts au Palais des congrès.