Announcement

Collapse
No announcement yet.

La Hutte de M. Medzarentz par P. Habeckian

Collapse
X
 
  • Filter
  • Time
  • Show
Clear All
new posts

  • La Hutte de M. Medzarentz par P. Habeckian

    Poésie
    ÕÕ«Ö?Õ²Õ¨ (La Hutte), de M. Medzarentz par P. Habeckian

    http://www.armenews.com/article.php3?id_article=88122

    Missak Metzarents (Missak Metzadourian), est né en janvier 1886 dans
    le village de Pingian (vilayet de Kharpert), près de Agn, en Arménie
    Occidentale. En 1894, il déménage avec sa famille à Sebaste, où il
    fréquente l'école Aramian. De 1902-1905, alors que la tuberculose
    commence à se manifester, il fréquentera l'école centrale de
    Constantinople. Cependant, la maladie l'oblige à quitter ses études
    sur le conseil des médecins.

    En dépit de son triste sort, Missak Metzarents réussit à publier de
    son vivant deux volumes de poésie : `Dziadzan` (Rainbow - Arc en ciel)
    (1907) et `Nor Dagher`. Il aura très jeune enrichi la poésie
    arménienne avec ses chefs-d'Å`uvre lyriques.

    Son héritage littéraire est constitué de plus de 130 poèmes, une
    douzaine de poèmes en prose et d'histoires, et de plusieurs articles
    littéraires et de critiques. Il a écrit son premier poème (La Plaie au
    coeur) Ã l'ge de 15 ans. Un an après la publication de l'Arc en ciel,
    il rendait l'me à l'ge de 22 ans, le 4 juillet 1908 . Il repose Ã
    Istanbul.

    Mon père, grand patriote, féru de poésie et artiste dramatique, auteur
    du livre Les Fleurs déracinées (Elekian, 1980), a enregistré dans les
    années 1960-70 plusieurs textes de nos grands poètes. Ici, il nous
    propose « La Hutte », de Missak Medzarentz.

    Parsegh Habeckian, est comme les descendants de la barbarie de la
    Turquie ottomane, un survivant du Génocide de 1915. Il a failli mourir
    sur place à l'ge de 6 ans dans un village près de Yozgat, quand après
    48 heures passées sous le cadavre de sa mère, ses sauveteurs
    s'aperçurent qu'il avait une entaille à la nuque provoquée par un coup
    de hache. Il avait été laissé pour mort après que les sauvages (il n'y
    a pas d'autre terme) eurent massacrés les villageois. Pour le protéger
    sa mère s'était précipitée sur lui. La hache traversa le corps de
    celle qui aurait dû être ma grand-mère. Il est décédé le 24 Avril
    1989...

    Jean Eckian



    Autres poèmes en Arménien sur Youtube :

    Complaints (Bedros Tourian) - My old companions (Sarmen)
    ...

Working...
X