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La loi sur les retraites pourrait être modifiée en Arménie

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    ARMENIE
    La loi sur les retraites pourrait être modifiée en Arménie


    Le président de l'Assemblée nationale d'Arménie a reconnu des > dans la loi controversée sur le système de retraite
    national, promettant que des modifications seront apportées.

    Hovik Abrahamian, a toutefois souligné que les autorités n'ont pas agi
    sous la pression en raison des manifestations publiques et qu'ils
    devraient y avoir un débat sur la question.

    > a déclaré Abrahamian, un membre important du Parti
    républicain d'Arménie (HHK).

    Les remarques sont venus deux jours seulement après que des milliers
    de membres et sympathisants d'un campagne d'un groupe civile arménien
    contre la réforme des retraites aient tenu une autre réunion publique
    à Erevan, menaçant de recourir à la désobéissance civile comme moyen
    de lutte à moins que leur demande de retrait de la loi controversée
    était respectée par le gouvernement.

    Les représentants de plusieurs partis d'opposition ont également pris
    part à la manifestation faisant de vives critiques au gouvernement sur
    ce qu'ils ont décrit comme un morceau honteux de législation.

    En vertu de plusieurs dispositions de la loi, qui sont actuellement
    contestée devant la Cour constitutionnelle, tous les citoyens qui
    travaillent en Arménie nés après 1973 doivent verser de cinq à dix
    pour cent de leurs salaires à des fonds de pension privés en plus
    d'autres paiements de sécurité sociale versés par leurs employeurs.
    Ils seront en mesure d'utiliser leurs fonds accumulés quand ils
    atteindront l'ge de la retraite, fixé à 63 ans pour les hommes et les
    femmes en Arménie.

    Beaucoup de jeunes Arméniens, y compris dans des emplois bien
    rémunérés, sont sceptiques quant à la réforme car ils ne font pas
    confiance au gouvernement ou à des fonds privés pour gérer leurs
    économies pour une si longue période de temps. En outre, beaucoup
    considèrent le caractère obligatoire de la loi comme une violation
    grave de la Constitution.

    Dans le même temps, des militants de l'initiative civique Dem.am ont
    clairement fait savoir que pendant qu'ils sont prêts en principe à
    participer à des discussions, ils ne vont pas faire de compromis sur
    leur principale demande que l'élément obligatoire de la loi soit aboli
    . C'est leur réponse à une offre antérieure du Premier ministre Tigran
    Sarkissian d'engager un dialogue autour de la loi controversée.

    S'exprimant lors de la séance hebdomadaire de son cabinet, M.
    Sarkissian a également reconnu des > dans la loi. Il a
    également salué le fait que les militants Dem.am se sont abstenus de
    politiser la question, malgré
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